Nous avons remporté l’appel à projets II : Accompagnements des TPE/PME à la transformation numérique

Comme déjà annoncé, nous avons répondu à l’appel à projet de BPI France sur l’accompagnement des TPE/PME à la transformation numérique. Nous avons eu la réponse le 18 juin : nous avons été sélectionné pour faire partie du programme. Nous sommes ravis de pouvoir sensibiliser les entreprises calédoniennes à la transition numérique.

Comment va s’organiser le projet ?

Un consortium a été créé avec 17 adhérents volontaires : Acor – Actecil – AdDo – Atlas Management – DPO Consulting – L’Ecole du Design – Faidyl – Geocal – IOT.NC – NCT&I – myCloud – Scienteo – Oxera – Skazy – Shop.nc – Visual Office – Visual Com. Ils seront en charge de l’animation des ateliers de sensibilisation.   En fonction de leurs expertises, les adhérents se sont positionnés sur 31 thématiques différentes liées au numérique :

      1. Assurer et renforcer ma visibilité sur les réseaux sociaux
      2. Communiquer avec mes clients
      3. Créer mon site web
      4. Gérer ma réputation et ma notoriété
      5. Cybersécurité : comment faire et comment se prendre en charge
      6. Être alerté sur mes obligations réglementaires
      7. Gérer mon informatique (sécurité, RGPD, cloud…)
      8. IOT
      9. Travailler à distance
      10. Comment organiser les équipes/outils de gestion RH
      11. Développer mes compétences et celles de mes salariés
      12. Le e-commerce en 72h
      13. Gagner du temps, améliorer mes processus internes
      14. Gérer mes relations avec mes fournisseurs, mes employés, ma banque
      15. Gérer mes stocks
      16. Mieux gérer ma trésorerie
      17. Obtenir un financement pour un besoin de numérisation
      18. Comment bien rédiger pour le web
      19. Réduire les coûts
      20. Construire un modèle économique
      21. Développer mes ventes, vendre plus, vendre mieux
      22. Communiquez grâce aux e-mails
      23. Me développer à l’export
      24. Parcours client optimisé
      25. Référencer mes produits ou mes services dans un catalogue
      26. Vendre ou proposer mes services à distance
      27. La géolocalisation du GPS à la voiture connectée
      28. Découverte des tableaux de bords et des indicateurs de performance
      29. Développer votre présence en ligne
      30. Gestion électronique des documents et courriers
      31. Répondre à un appel d’offre

L’objectif du projet est de réaliser au moins 1 500 actions de sensibilisation auprès des TPE/PME sur une période de 16 mois. A noter, une entreprise peut être comptabilisée 2 fois si jamais elle va à plusieurs ateliers.

Afin de remplir l’objectif fixé par BPI, nous projetons de réaliser 106 ateliers de sensibilisation sur la période  avec 3 types d’intervention :

SPÉCIFIQUE – format court (1h) – 8 entreprises – 1 intervenant – 1 thématique abordée – 70 ateliers sensibilisation sur les 16 mois.

DÉCOUVERTE – Format long (2h) – 20 entreprises – 3 intervenants – 3 thématiques variées abordées – 24 ateliers de sensibilisation sur les 16 mois.

THÉMATIQUE – Format long (2h) – 50 entreprises – 3 intervenants – 3 thématiques communes abordées – 12 ateliers de sensibilisation sur les 16 mois.

Les chambres consulaires (CMA – CCI – CANC) et organisations patronales (MEDEF, FINC, CPME, SCNC) sont nos partenaires sur ce projet. Ils vont nous aider dans le recrutement des TPE/PME.

Nous sommes actuellement en train de réfléchir à la gestion global du projet ainsi qu’à l’aspect logistique et au suivi pédagogique.

C’est un projet d’envergure que nous avons remporté grâce au travail collaboratif avec les adhérents et les partenaires du projet.

 

 

L’Assemblée Générale Extraordinaire et Ordinaire 2021

Le mardi 18 mai à 17h, nous nous sommes réunis pour l’Assemblée Générale Extraordinaire et Ordinaire.

40 adhérents ont répondu à l’invitation et l’ensemble des délibération ont été approuvé à l’unanimité.

 

Si vous n’avez pas pu y assister, découvrez les présentations :

OPEN – AGE – 18 mai 2021

OPEN – AG – 18 mai 2021

Consultez les procès verbaux :

OPEN – PV AG0 – 18-05-21

OPEN – PV AGE – 18-05-21

 

Ocean Hackathon® : 48h pour décoder la mer !

Pour sa 6eme édition, Ocean Hackathon® débarque en Nouvelle-Calédonie. Suite à l’initiative du Pôle Innovation de l’ADECAL, Nouméa a été retenue pour l’organisation de l’événement cette année.

Ocean Hackathon® c’est quoi ?

C’est 48h non-stop pour développer en équipe un prototype et réfléchir à son usage, le tout à partir de données numériques variées liées à la mer.

Un appel à défis est lancé quelques mois avant l’événement pour identifier des projets sur lesquels se positionneront les équipes dans chacune des villes participantes.

A l’issue du weekend, une équipe sera élue pour participer au concours international de pitchs fin 2021 à Brest et gagnera peut-être l’un des prix offerts par nos Ambassadeurs.

La date sélectionnée pour cette année est du 5 au 7 novembre.

Ocean Hackathon® est une initiative du Campus mondial de la mer qui encourage le partage, l’utilisation des nouvelles technologies numériques et l’esprit d’entreprise. Les projets qui en résultent valorisent les DATA marines et maritimes, souvent en les réutilisant. Les fournisseurs de DATA se focalise sur l’amélioration de l’accessibilité et de la compréhension des données et participent au coaching des participants tout au long de l’événement.

L’organisation de Ocean Hackathon® consiste en trois phases :

  1. l’appel à candidature des villes,
  2. l’appel à défis portés par des personnes physiques ou morales,
  3. l’inscription permettant la constitution des équipes.

Le projet est porté par le cluster Maritime en tant que Général Advisor, la communication est assurée par l’UNC en tant que Comunication Advisor et OPEN prend le rôle de DATA Advisor.

Nous sommes déjà dans la 2eme phase du projet ! Vous avez un challenge à proposer ? C’est le moment ! Si vous avez une idée répondant à un besoin d’un usager de la mer ? Ou si vous avez un projet plus mature qui nécessite un coup d’accélérateur ou une expertise spécifique ?  Déposez votre défi en ligne !

Découvrez en plus sur le projet : une réunion d’information est prévue le 29 avril de 8h à 9h30 à la Station N.

En attendant, rejoignez le projet sur Facebook !

Appel à projets II : Accompagnements des TPE/PME à la transformation numérique

Dans le cadre du plan de relance, Bpifrance a lancé le 26 mars la deuxième vague de l’appel à projet « Accompagnements des TPE/PME à la transformation numérique ».

Un nombre important de TPE/PME a fait l’expérience pendant la crise d’un manque de maîtrise du numérique.
Pour confirmer la prise de conscience des enjeux du numérique et passer à l’action, l’Etat a confié à Bpifrance, en lien avec France Num, dans le cadre du Plan de relance, la mise en œuvre d’un programme d’accompagnement collectif en matière de transformation numérique.

Quels types de projet sont financés ?

Pour répondre aux besoins des entreprises, le projet prévoit 2 types d’accompagnements :

  • Accompagnement-action : un parcours destiné à expérimenter un usage ou une solution numérique en réponse à un besoin concret. Il s’adresse à des dirigeants d’entreprise et dure une dizaine d’heure réparties sur 2 semaines minimum. Il est conçu pour accompagner 1 500 entreprises, et il est bien sûr gratuit pour l’entreprise qui en bénéficie. La rémunération prévue est de 300€ maximum par bénéficiaire accompagné.

 

  • Sensibilisation : une action orientée vers l’identification de difficultés opérationnelles  et pouvant être résolues par des solutions numérique. Les actions de sensibilisation sont également gratuites pour les entreprises et doivent s’adresser à un minimum de 1 500 entreprises. La rémunération prévue est de  100€ maximum par entreprise sensibilisée.

==> OPEN se positionne sur la partie « sensibilisation » uniquement.

Quels sont les objectifs de l’appel à projet ?

  1. Sélectionner les opérateurs  en mesure de déployer un programme d’accompagnement auprès d’au minimum 1 500 entreprises.
  2. Mettre en place un outil de recueil de données des entreprises accompagnées.
  3. Assurer un suivi qualitatif et quantitatif des actions réalisées et de leurs impacts.

Un premier appel à projet à été lancé le 18 janvier 2021 avec plus de 70 répondants et seulement 9 projets retenus. Découvrez les projets sélectionnés.

Quels sont les thématiques éligibles ?

Les actions d’accompagnements collectifs doivent couvrir un ou plusieurs champs thématiques suivants :

COMMUNICATION, COMMERCIALISATION, VENTE ET FIDÉLISATION :

    • Développer mes ventes, vendre plus, vendre mieux
    • Communiquer avec mes clients, trouver de nouveaux clients et les fidéliser
    • Vendre ou proposer mes services à distance
    • Référencer mes produits ou mes services sur un catalogue
    • Répondre à un appel d’offres
    • Me développer à l’export
    • Gérer ma réputation et ma notoriété
    • Valoriser mon métier, mes valeurs, mon entreprise
    • Assurer et renforcer ma visibilité sur les réseaux sociaux
    • Créer mon site web
    • Développer une marque employeur

GESTION, ORGANISATION, RH :

    • Réduire mes coûts
    • Obtenir un financement pour un besoin de numérisation
    • Mieux gérer ma trésorerie
    • Construire un modèle économique
    • Évaluer mes actifs pour transmettre mon entreprise
    • Gérer mes relations avec mes fournisseurs, mes employés, ma banque…
    • Gagner du temps, améliorer mes processus internes (dont processus de facturation, relance paiements, etc.)
    • Gérer mes stocks
    • Gérer mon informatique (sécurité, RGPD, cloud, abonnement…)
    • Être alerté sur mes obligations règlementaires
    • Développer mes compétences et celles de mes salariés
    • Recruter
    • Travailler à distance
    • Faire connaître mes valeurs et mon engagement d’un point de vue social et environnemental (accès aux personnes handicapées, respect de l’environnement, etc.)

Quels sont les critères d’éligibilité ?

Pour être éligible, le projet présenté par un groupement d’organismes doit être soit de type « Accompagnement Action » soit de type « Sensibilisation ».  Les dossiers ne peuvent pas combiner les 2 actions.

Le projet doit être porté par un chef de file, soit une personne morale.

Ce programme est fondé sur le principe d’une dynamique collaborative et partenariale.

 

La réponse d’OPEN :

Open se positionne donc en tant que chef de file pour porter ce projet pour la partie « sensibilisation » uniquement. Les membres du groupement sont des adhérents volontaires, pour porter le projet et animer des ateliers thématiques. Certains de nos partenaires comme les Chambres Consulaires, et les Organisations Patronales nous soutiennent dans notre démarche en mobilisant leurs ressortissants sur les différentes thématiques. De plus, certaines chambres consulaires ont déjà des programmes d’accompagnement à la transition numérique, ainsi, le projet BPI peut s’inscrire dans le programme « CAP RELANCE » de la CCI et « INFOTIC » de la CMA.

Nous devons rendre notre dossier de candidature le 30 avril avec une réponse prévue pour le 30 mai. Cependant, même si nous n’obtenons pas le financement de BPI France, nous avons décidé de proposer gracieusement l’animation d’ateliers en vue d’aider les entreprises calédoniennes dans leur transformation numérique.

Participation à Appel à Projet BPI France et France Num « Accompagnements des TPE/PME à la transformation numérique »

L’État a confié à Bpifrance en lien avec France Num, la mise en œuvre d’un programme d’accompagnement collectif des TPE/PME en matière de transformation numérique.

Le programme prévoit deux types d’accompagnements :

  • Des accompagnements-actions orientées vers l’expérimentation d’une solution numérique en réponse à un besoin concret des entreprises. Il consiste à proposer un parcours destiné à expérimenter un usage ou une solution numérique en réponse à un besoin concret.
  • Des actions de sensibilisation des entreprises orientées vers l’identification de difficultés opérationnelles relatives à leur activité et pouvant être résolues par des solutions numériques. Les actions de sensibilisation proposées par les opérateurs peuvent être en ligne ou en présentiel.

Les accompagnements sont gratuits pour les entreprises bénéficiaires. Une rémunération est prévue pour le groupement d’organisme qui propose un de ces types d’accompagnements.

Nous avons proposé notre candidature pour mener des actions de sensibilisation envers les entreprises calédoniennes. En effet, nous pensons que le numérique constitue un levier de performance pour les organisations, quel que soit leur domaine d’activité et leur taille.

Afin d’être éligible, notre dossier devait montrer que nous sommes en capacité d’accompagner au moins 1 500 entreprises, avec en cible privilégiée, les TPE. Et que nous avons également au sein de notre réseau des professionnels experts capables d’animer ces ateliers de sensibilisation.

Nous avons donc monté un dossier avec les adhérents OPEN volontaires, plus d’une dizaine ont répondu à l’appel. Nous nous sommes également rapprochés des chambres consulaires, et des organisations patronales qui étaient toutes séduites par le projet et nous ont confirmé leur soutien auprès de leurs ressortissants respectifs.

Vous trouverez tous les détails de l’AAP qui est en ligne.

Nous n’avons malheureusement pas été sélectionné pour ce projet. Mais il est cependant relancé le 26 mars avec une réponse pour le 30 avril et souhaitons encore une fois nous positionner.

 

Atelier Cybersécurité à l’École de la Réussite

Laurent Rivaton, expert en cybersécurité (AdDo) et administrateur OPEN a proposé un atelier à l’École de la Réussite. Il était accompagné par Myriam Sanchez, ingénieure pédagogique (Improve) et trésorière d’OPEN.

Une première rencontre en juillet a permis de présenter l’univers de la cybersécurité à 9 stagiaires de l’École de la Réussite. L’intérêt porté par cette initiation a motivé Laurent Rivaton et l’École de la Réussite à proposer un atelier technique.

L’atelier cybersécurité a eu lieu le mercredi 9 septembre 2020. Neuf stagiaires y ont participé. Leur mission : créer pas à pas un programme en python (langage de programmation open source) pour exploiter une faille de sécurité de type « écrasement mémoire », ou « buffer overflow », et prendre le contrôle à distance de l’ordinateur de la victime.

L’observation des participantes d’un point de vue ingénierie pédagogique ciblait l’ objectif de concevoir dans un second temps un pré-module formation de base pour les publics ayant quitté la formation initiale avant l’obtention du bac. Les stagiaires ont été divisé en quatre équipes : trois de deux et une de trois. Chaque équipe avait deux ordinateurs : un sous Kali Linux pour le poste attaquant et un sous Windows pour le poste victime.

L’atelier, d’une durée de 3h environ, s’est déroulé en 11 étapes :

  • Étape 1 : Détection et analyse de la faille de sécurité
  • Étape 2 : Reproduction plantage
  • Étape 3 : Recherche position EIP
  • étape 4 : Confirmation position EIP
  • étape 5 : Test espace mémoire plus grand
  • étape 6 : Recherche caractères interdits
  • étape 7 : Création du shellcode
  • étape 8 : Recherche bonne valeur pour EIP ?
  • étape 9 : Trouver JUMP ESP 1
  • étape 10 : Test programme final
  • étape 11 : Test programme d’attaque en « conditions réelles » (sans le debogueur)

Les quatre équipes ont été jusqu’au bout de l’exercice avec un programme d’attaque opérationnel et 2 d’entre elles se sont distinguées par la pertinence des questions, l’esprit de relever un challenge.

Nous voulions encore remercier l’École de la Réussite pour leur confiance et les neuf femmes qui ont participé à cet atelier pour leur engagement.

 

 

Naissance d’une filière d’avenir en NC

Cet OPEN BOOK fait suite à l’OPEN MEETING du 23 juillet
2020 qui s’est tenu à la CCI. Nous avons retranscrit par écrit
la conférence donnée ce soir-là.
Jean-Marc Brecard (Codigis) était un charge de l’animation.
Xavier Bahuon (Cyber Action), diplômé d’un Master en
cybersécurité, certifié CISSP et formateur agréé DFPC, a
rédigé les parties 1 et 2.
Laurent Rivaton (AdDo), certifié CEH, CISSP, OSCP, et
formateur agréé DFPC a traité les parties 3 et 4.
Lors de cette soirée, les invités avaient la possibilité
d’interagir avec les intervenants via l’application Sli.Do et
ainsi poser des questions et réagir aux commentaires.
L’ensemble des questions posées et leurs réponses font
l’objet de la dernière partie de ce document.
En espérant que cette restitution saura vous convaincre du
potentiel de la filière cybersécurité en Nouvelle-Calédonie.

Télécharger le document OPEN BOOK en PDF

Echange avec Laetitia BARRIEZ, coordinatrice de formation au sein de la société Acor

Adhérente au cluster, la société Acor est spécialisée dans les logiciels de gestion.

Laetitia, peux tu me dire un mot sur ton parcours

Spécialisée en Développement territorial, ma première partie de carrière est dédiée aux politiques publiques de l’Emploi-Formation. Progressivement, mes missions évoluent et s‘orientent vers l’élaboration de stratégies de transformation, d’adaptation et de conduite du changement. 

En Nouvelle-Calédonie, j’intègre ACOR Logiciel de Gestion, où je coordonne les prestations de conseils, de formation professionnelle de premier niveau comme de perfectionnement sur une gamme très large de solution (Sage, Ciel ou EBP). 

ACOR est intégrateur d’une gamme complète de logiciels d’éditeurs reconnus : SAGE, CIEL et EBP. Cette diversité catalogue permet de répondre aux besoins de la majorité des entreprises calédoniennes.

Quelles ont été tes motivations pour rejoindre la commission « formation » du cluster OPEN nc

Résoudre les problèmes de formation et de recrutement pour des secteurs en tension, a été aux cœurs de mes premières missions. Au sein de la commission Formation, j’ai à nouveau l’opportunité de coconstruire des outils afin d’améliorer la capacité de recrutement et de croissance de mon secteur d’activité actuel. Je crois énormément au pouvoir de l’action collective.

 

Cette période de confinement que nous venons de vivre a demandé aux entreprises calédoniennes de s’adapter?

Les mesures de confinement ont été imposées dans l’urgence. Du jour au lendemain, le télétravail est instauré brutalement au sein des entreprises, souvent sans préparation. 

Certaines entreprises n’avaient pas d’outils collaboratifs, il a alors fallu les adopter rapidement. D’autres ont malheureusement dû faire face à des cyberattaques, la nécessité de faire des efforts pour sécuriser les postes informatiques est devenue indéniable.

A l’inverse, d’autres y ont vu l’opportunité d’accélérer leur processus de digitalisation de leur organisation au travail. Pendant le confinement, nombre de nos clients nous ont sollicité pour trouver une solution sûre et sécurisée qui leur permette de gérer leur entreprise à distance. 

Depuis des années déjà, ACOR valorise la “transformation numérique” au sein de toutes les activités économiques, aujourd’hui nous pouvons affirmer que l’heure n’est plus à la prise de conscience, mais à la mise en œuvre une stratégie de transition digitale.

Quelles sont les questions les plus fréquentes des entreprises que vous accompagnez ?

Globalement tous nos clients ont continué à accéder à leur base commerciale ou comptable, notamment grâce à la mise en place d’outil « simple » de connexion à distance comme TeamViewer ou encore un VPN. Face à ce type de sollicitations, nous relayons systématiquement vers nos partenaires dont c’est le cœur de métier et l’expertise. 

Cependant plusieurs de nos clients ont souhaité aller plus loin que la mise en place d’un accès à distance et ont entamé une réflexion plus globale sur leur informatique de gestion. Si nous avons été sollicités, c’est essentiellement par des entreprises qui avaient déjà outillé leurs équipes pour du télétravail et qui pendant le confinement souhaitaient passer un nouveau cap numérique.

En revanche, il a fallu expliquer que nos formations ne s’arrêtaient pas, mais qu’elles devaient se faire différemment en s’adaptant aux circonstances et en prenant en compte toute la diversité des situations de nos apprenants. Toute notre équipe s’est fortement mobilisée pour promouvoir le recours aux outils collaboratifs afin d’assurer une continuité pédagogique à distance. Le plus compliqué n’a pas été de faire accepter l’outil, mais le changement de perspective pédagogique. Passé la première session, les retours ont été unanime : Le formation à distance, ça marche !

Quelques conseils pour mieux se préparer ou rendre cette organisation plus pérenne à l’avenir.

En premier lieu, le télétravail pose un certain nombre de défis en matière de sécurité informatique.

Il est important de rappeler qu’aucune protection technologique ne sera utile si les utilisateurs n’adoptent pas des mesures de travail sûres et sécurisées. Les nouveaux venus dans le monde du télétravail auront tout particulièrement besoin d’être informés et formés à ce sujet.

Recourir aux outils collaboratifs, notamment pour continuer à se former.

En télétravail, la production repose sur la qualité des outils à disposition pour faciliter la gestion de son entreprise à distance. Il est essentiel de pouvoir recourir à des outils collaboratifs, ils se sont d’ailleurs particulièrement bien développés pendant cette crise sanitaire. Ils favorisent la communication et l’articulation des équipes pour faire de cette nouvelle organisation de travail une nouvelle force.

Quant à la formation, plusieurs solutions techniques existent d’ores et déjà qui permettent de diffuser d’animer des formations et d’assurer le lien pédagogique à distance. Les formats proposés sont très flexibles et présentent de nombreux avantages : Gain de temps, adaptation du rythme…

Avec les bons outils, méthodologie et organisation, l’obstacle n’est pas insurmontable.

Par exemple, le développement des solutions Cloud qui permettent aux structures de toutes tailles de profiter des meilleures technologies avec un minimum d’investissement à long terme. Le déploiement est facilité puisque l’installation et les mises à jour sont guidées à distance par le prestataire. En métropole le logiciel en ligne est très répandu et l’offre très variée. Localement, le recours à ces solutions par nos entreprises est de plus en plus fréquent mais reste marginal. La période actuelle est pourtant propice à cette prise de décision.

Plus que jamais, le suivi, le Reporting est la clé d’une gestion de crise efficace.

La plupart des entreprises ne peut pas se permettre des coûts supplémentaires, des retards ou des ressources manquantes, qui se traduiraient par une perte massive de retour sur investissement tout au long de l’année. Avec un bon outil de centralisation des données, vous devriez être en mesure d’obtenir des rapports pertinents. Vos systèmes de suivi et de centralisation des données doivent être synchronisés afin d’obtenir des informations en temps réel, vous permettant de prendre des mesures immédiates si nécessaire. Les tableaux de Reporting, type “Business Intelligent” deviennent incontournables pour piloter son activité.

Outils communication bancaires

Enfin une dernière priorité à notre sens c’est de pouvoir gérer efficacement les échanges financiers avec ses clients, ses fournisseurs et ses partenaires bancaires. Il existe des solutions spécialisées et sécurisées pour optimiser toutes ces transactions, que l’on soit TPE ou Multi-société.